Les podcasts de la saison 1

Dans la première saison de la ruralité en mouvement, cinq entretiens menés avec Hervé Roncière, Yaëlle Amsellem, Ludovic Duhem, Quentin Mateus et Guillaume Faburel nous éclairent sur de multiples enjeux de la mobilité en zone rurale.

Ep.1 : Mettre en cohérence les offres de mobilités existantes, avec Hervé Roncière

High-tech ou low-tech, collectives ou à la demande, partagées, autonomes, associatives, électriques... Les solutions qui garnissent la boîte à outils des mobilités d'un territoire sont nombreuses et prometteuses. Encore faut-il connaître celles qui sont adaptées aux usages de son territoire, identifier leurs complémentarités et les déployer au bon endroit pour pouvoir composer le cocktail optimal.

Ep.2 : Les opportunités de la lenteur et de la sobriété sur les petits trajets aux alentours de chez soi, avec Yaëlle Amsellem

Si l’on peut accorder quelque chose à la crise sanitaire que nous traversons, c’est qu’elle nous a invités à porter un regard différent sur notre environnement immédiat. Alors que nos déplacements ont été fortement contraints, nous avons été obligés de nous intéresser aux commerces et services de proximité, aux producteurs voisins, aux espaces de nature et de loisir à (re)découvrir à pied.

Ep.3 : Les nouveaux collectifs et communs de la mobilité, avec Ludovic Duhem

Avec lui, nous explorons la notion de "communs" appliquée à la mobilité. Transports en communs, covoiturage, autostop, coopératives d'utilisation de matériel agricole… La mobilité partagée ne date pas d’hier. De plus en plus d’initiatives voient le jour et redessinent les contours de la mobilité partagée comme Mobicoop, Rezo Pouce ou encore Partageons plus de vélos.

Ep. 4 : Penser les alternatives à la voiture autosoliste et les routes des nouveaux véhicules légers, avec Quentin Mateus

La voiture reste le mode de transport principal de 71% des Français. En zones peu denses où vivent 21,4 millions d’habitants, plus des trois quarts des déplacements se font en voiture. Pourtant il est urgent de décarboner nos déplacements, que ce soit pour des raisons économiques ou environnementales, comme le souligne le rapport du GIEC.

Ep.5 : De la mobilité subie à la mobilité choisie, avec Guillaume Faburel

Dans cet échange, Guillaume nous éclaire sur la notion de démobilité, ce qui est d'autant plus intéressant puisqu'il est géographe. La mobilité est facilement associée à la liberté, à un pouvoir, à la figure publicitaire du voyageur solitaire ou de la famille heureuse. Mais il faudrait parfois être libre de renoncer à certains trajets, de dire stop, pouce, pas maintenant.

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